Certaines femmes reprochent leurs maris de ne les avoir pas donné assez de leurs temps, et jugent ça comme acte d’ignorance et de malveillance, puis elles se mettent à passer leur temps à chercher des contacts suspicieux pour -soi-disant- remplir leur vide, avant de se perdre parfois dans l’indésirable!

Non, je ne justifie pas l’irresponsabilité de  certains hommes, mais les femmes au foyers devraient savoir profiter du peu de temps qu’elles gagnent avec leurs maris, et penser à leurs sœurs qui vivent loin de leurs époux, ou travaillent sans cesse pour avoir de quoi nourrir leur famille!

Il faut regarder la souffrance des autres pour voir les grâces d’Allah en soi.

Je t’aime tant que je suis seule avec toi !

Je t’aime tant que tu me dis tout ce que tu sais, et me montre tout ce que tu as !

Je t’aime tant que tu me donnes tout ce que je te demande !

Je t’aime tant que j’attends de toi un profit !

Je ne te dirais pas le contraire, mais si jamais un jour tu me prives une de ces choses, tu es le pire des hommes, pire même que le diable !!

C’est ça l’amour appris des magazines et de la télé.

On peut vouloir punir quelqu’un sans vraiment aimer sa punition!

Allah a voulu le bien et le mal; car c’est lui le roi incontournable, et rien ne se produit dans son royaume sans sa volonté.

Il a créé les deux, mais aime le bien et non le mal.

Donc, ne dit pas que « Dieu n’a pas voulu le mal »; car ça signifierai qu’il se passe des choses dans son royaume contre sa volonté!

Ne dit non plus qu’ « il n’y a pas le mal, c’est l’absence du bien que les gens déterminent comme mal »; car cela peut-être contraint par la théorie inverse: que le bien n’existe pas, c’est l’absence du mal que les gens déterminent comme bien (Philosophie contre philosophie)!

Alors, fait la distinction entre aimer et vouloir.

Ils appellent à la liberté de la femme, mais la prive de la liberté de mettre son voile!

Par contre, ils légalisent sa nudité et facilitent l’accès à sa dignité.

S’ils disaient: « liberté à la femme », ce serait plus  raisonnable de leur part.